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  .Aquila Glossaire
  ECHAFAUDAGES etc
 

CHUTES D'ECHAFAUDAGES et de PLATEFORMES


2011










Un jeune ouvrier de 21 ans s'est empalé sir une barre d'acier après une chute sur un chantier à Regensdorf (ZH).

Un ouvrier de 21 ans est tombé d'un échafaudage vendredi à Regensdorf (ZH) et a chuté sur plus de deux mètres avant de s'empaler sur une barre d'acier faisait partie d'une structure de béton armé.

Le jeune homme a été héliporté à l'hôpital, a indiqué la police cantonale.

La raison de la chute reste pour l'heure inconnue. La barre d'acier a transpercé le corps du jeune homme dans la région du bassin. Ses jours ne semblent pour l'heure pas en danger.

 



Grave accident du travail à Mandailles-Saint Julien
Un grave accident du travail s'est produit ce lundi matin à Mandailles-Saint Julien dans le Cantal.
Un homme est tombé d'un échafaudage adossé à une maison en bord d'un ravin au lieu dit Liadouze. Le quadragénaire a ainsi chuté d'une quinzaine de mètres. Grièvement blessé il a pu être héliporté vers le centre hospitalier d'Aurillac. Ses jours ne sont pas en danger.


Source : l'info du Cantal - 27/06/2011



29 avril : NORMANDIE  - Un ouvrier en arrêt cardiaque après sa chute de 6 m d'un échafaudage

Un ouvrier du bâtiment a été victime d'un accident du travail ce vendredi après-midi, alors qu'il se trouvait sur un chantier, rue du Val-des-Côtes à Mont-Saint-Aignan, dans la banlieue de Rouen.

Peu après 15h, alors qu'il était sur un échafaudage à une hauteur d'environ six mètres, ce salarié d'une entreprise basée à Notre-Dame-de-Bondeville a lourdement chuté. Les sapeurs-pompiers et le Samu ont été alertés. La victime a été transférée au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen, dans un état critique. D'après nos informations, il était en arrêt cardiaque.

Un magistrat du parquet de Rouen s'est rendu sur les lieux, comme l'inspection du travail. La police a ouvert une enquête pour établir les circonstances exactes de cet accident et déterminer si toutes les règles de sécurité avaient été respectées.

Source : http://www.paris-normandie.fr

7 avril : MEZE - L'échafaudage s'écroule : un blessé
Un homme a été blessé ce matin à Mèze à la suite de l'écroulement de son échafaudage. Il était en train de repeindre le toit de l'ancienne station Total quand la structure s'est dérobée sous ses pieds. Souffrant de nombreux traumatismes il a été évacué par hélicoptère vers l'hôpital Lapeyronie.
 
Source : MIDI LIBRE du 07/04/2011

7 avril  : Chute de 10 mètres à Bayeux : Terrible accident sur un chantier de Bayeux ce jeudi 7 avril. Un jeune homme est tombé du haut d'un échafaudage.

Un grave accident s'est produit en fin de matinée ce jeudi 7 avril sur un chantier de Bayeux. Pour une raison encore indéterminée, un jeune ouvrier est tombé d'un échafaudage. Une chute de 10 mètres de haut. Grièvement blessé, il a été transporté au CHU de Caen.

Source : Tendance ouest du 07/04/2011


HAYBES : Multiples fractures Il fait une chute de dix mètres de haut

Hier, vers 13 h 45, un dramatique accident a failli coûter la vie à un artisan couvreur, originaire de Fumay. Alors que ce dernier se préparait à intervenir sur la toiture d'une maison, située rue Saint-Louis à Haybes, l'échafaudage qu'il installait s'est brutalement désolidarisé de la façade, entraînant inévitablement le chef d'entreprise dans sa chute.
Gérard Huart, 50 ans, a alors fini sa course côté jardin, dix mètres plus bas, au milieu de gravats et de dangereux bouts de bois. « J'étais dans la salle de bains quand j'ai entendu un gros boum », confie un voisin, qui pensait, dans un premier temps, qu'il « ne s'agissait que d'ardoises ». C'est ensuite, « une fois que j'ai vu les secours arriver que j'ai compris qu'un homme était tombé », précise-t-il.
A l'extérieur, la victime a aussitôt été prise en charge par les pompiers d'Haybes, venus du centre de secours voisin.
Conscient à leur arrivée, le couvreur souffrirait de multiples fractures et a rapidement été transporté au centre hospitalier Manchester de Charleville.
Enquête en cours
Mais déjà, dans le village, les discussions allaient bon train : « Il a eu de la chance, soufflait ainsi un riverain, tout en s'interrogeant sur les raisons de l'accident. « C'est pourtant un artisan expérimenté, qui fait toujours très attention à ce qu'il fait », commentait un autre habitant. La vétusté des briques de la façade, encore gorgées d'eau, constitue des prémices d'explication, que l'enquête- confiée à la communauté de brigades de Fumay- devra s'atteler à éclairicir dans les prochains jours.
Au. A.

L'ARDENNAIS : Publié le mercredi 30 mars 2011

L'artisan est tombé dans ce jardin, situé à l'arrière de la maison.

L'artisan est tombé dans ce jardin, situé à l'arrière de la maison.

2010


Une tour infernale en plein Shanghai

Source : 16 novembre 2010 : LE FIGARO


Selon les premiers témoignages, l'incendie aurait démarré dans des échafaudages installés pour des travaux de 

rénovation sur la tour. Crédits photo : ALY SONG/REUTERS

 

VIDÉO - Un incendie a ravagé lundi un immeuble de 28 étages, provoquant un brasier spectaculaire dans la métropole chinoise.
Les images sont impressionnantes, le bilan - encore provisoire - est dramatique. Au moins 53 personnes ont trouvé la mort lundi dans l'incendie d'une tour de 28 étages située dans le centre de Shanghai, ont annoncé les autorités peu après minuit (17 heures à Paris).
La tour d'habitations a pris feu en début d'après-midi dans Jingan, l'un des quartiers les plus peuplés de Shanghai, métropole de 20 millions d'habitants dans l'est de la Chine. Selon des témoins cités par les médias, l'incendie, qui a provoqué un brasier impressionnant, a apparemment démarré, pour des raisons encore indéterminées, dans des échafaudages installés pour des travaux de rénovation sur la tour.
De gigantesques flammes orange se sont vite engouffrées dans la tour et se sont propagées sur l'ensemble de la structure de cette «tour infernale», dégageant une épaisse fumée noire dans le ciel de Shanghai visible des kilomètres à la ronde. Il a fallu quatre heures et demie à des dizaines de pompiers avec une soixantaine de véhicules pour maîtriser l'incendie. Le nombre de blessés a été estimé à 70 mardi matin.
La tour de logements abritait 156 familles, essentiellement des enseignants, en partie retraités. Des personnes se sont jetées des fenêtres pour échapper aux flammes, a indiqué l'agence Chine nouvelle, tandis que d'autres ont tenté de fuir par les échafaudages. Des images retransmises par la télévision montraient des habitants de la tour s'échapper en titubant dans la rue, sous le choc et le visage noirci.
Dans la nuit, les sauveteurs cherchaient des survivants dans la grande tour carbonisée. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'incendie. La police chinoise interrogeait mardi quatre suspects. Les premiers éléments de l'enquête semblaient accuser des soudeurs. Mais déjà, pour la ville de Shanghai, la plus moderne et cosmopolite de Chine, cet incendie au très lourd bilan représente une catastrophe majeure.







Jusqu'à 2008

Écommoy : des ouvriers tombent d'un échafaudage
Des salariés de l'entreprise de charpentes Matras sont tombés d'un échafaudage. D'une hauteur de trois mètres. L'accident s'est produit hier, vers 11 h, sur un chantier à Écommoy. La structure a cédé alors que trois ouvriers se déplaçaient au niveau d'une gouttière. Ces derniers sont tombés au sol. Blessés ils ont été transportés au centre hospitalier du Mans par les sapeurs pompiers. Il s'agit de Fabien Souvigné, 21 ans, Daniel Picouleau, 50 ans et Gérald Quentin.
Source : OUEST FRANCE 29 aout 2008
Utilisation inappropriée de l’échafaudage - Nov 2007
 Agé de 45 ans, l’homme « toute main » avait pour fonction l’entretien et le nettoyage d’un camping. Il était en poste depuis 7 mois lorsque son accident est survenu. Ce jour là, son travail consistait à procéder au nettoyage des poutres d’une pergola. Il se faisait aider par un autre salarié. Pour travailler en hauteur, il disposait d’un échafaudage dont le plancher se situait à 1,60 m du sol, d’après l’employeur. Vraisemblablement, afin d’être plus à l’aise pour travailler, il est monté plus haut que ne le permettait l’échafaudage, sur le dessus des poutres situées à 2,32 m du sol, des planches étant posées sur les poutres. Il semble qu’il ait posé le pied à l’intersection de poutres horizontales et verticales. C’est à ce niveau qu’une poutre a cassé. Le salarié a perdu l’équilibre et il est tombé sur la tête, sur le sol en béton de la pergola. D’après l’employeur, il a pu se cogner la tête contre une poutre lors de la chute. L’homme est décédé instantanément
  Deux ouvriers décédés sur un chantier à Rochefort

L'effondrement d’un échafaudage sur le chantier du futur centre hospitalier de Rochefort en Charente-Maritime a fait deux morts jeudi après-midi, selon les sapeurs-pompiers de la ville.
La construction d’un nouvel hôpital avait été décidée par le ministre de la Santé en 2007 afin d’améliorer les conditions d’accueil des patients et fédérer les moyens cliniques tout en respectant les normes de sécurité. A l’issue des travaux prévue en 2009, l’ancien hôpital datant de 1972 devrait lui être détruit. 
L'accident s'est produit vers 16H00 sur le terrain de Beligon au nord de la ville où ont lieu les travaux. Pour une raison encore indéterminée, la nacelle sur laquelle les deux hommes travaillaient s’est brusquement décrochée. 

Dès la fin de l’après-midi, la police ainsi qu’un représentant du parquet ont été dépêchés sur place afin de déterminer les causes du drame.

Date : 12 juin 2008 Accident-chantier-hôpital-social  - Le Monde

Chute d'un maçon :
 Accident du travail à la zone d'activité du Fleurion, au Dézert: la victime transférée par hélicoptère à Caen

Un maçon est tombé d'un échafaudage ce matin, sur le chantier de construction d'un atelier-relais sur la zone d'activités du Fleurion, au Dézert, près de Saint-Jean-de-Daye. Transféré dans un premier temps par les pompiers au centre hospitalier Mémorial de Saint-Lô, la victime a dû être transférée quelques heures plus tard par hélicoptère au CHU de Caen.

 18:07 - vendredi 27 juin 2008 / OUEST FRANCE
Chute mortelle d’un ouvrier travaillant sur une église :
Un ouvrier d’origine polonaise a perdu la vie dans un accident de travail survenu à l’église Notre-Dame de Laeken qui abrite notamment la crypte royale, a indiqué la VRT. L’homme rénovait l’édifice lorsqu’il est tombé d’un échafaudage. La victime a été transportée à l’hôpital mais elle y est décédée des suites de ses blessures

Altkirch : deux ouvriers traversent un plancher         

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Un accident a fait deux blessés, hier peu après 14h30, rue du 3è Zouaves à Altkirch sur un chantier mené par la Ville d’Altkirch. ( 21 octobre 2008 )

Les salariés de la Ville d’Altkirch, un maçon et un ouvrier polyvalent étaient affectés à des travaux de déblaiement et de sécurisation dans l’ancienne propriété de la famille Zeyer, une demeure historique du 19è siècle, acquise par la Ville en 2007, lorsque le plancher du premier étage a cédé, occasionnant la chute des deux hommes.

L’ouvrier polyvalent, Frédéric Viron, 38 ans, de Ballersdorf, n’a été que légèrement blessé. Il a néanmoins été transporté à l’hôpital Saint-Morand d’Altkirch pour y subir des examens de contrôle. Le maçon par contre, Patrice Valente, 38 ans, domicilié à Montreux-Jeune, a été plus sérieusement blessé. Il a été conditionné sur place où il a reçu les premiers soins, avant d’être transféré, conscient, au Moenchsberg à Mulhouse. Il souffre d’une fracture et de contusions diverses, mais ses jours ne sont pas en danger.

Les gendarmes d’Altkirch ont ouvert une enquête pour établir les circonstances exactes de cet accident.

L’immeuble dans lequel a eu lieu cet accident, fait partie de la propriété Zeyer, des anciens marchands de vins d’Altkirch qui, il y a quelques années, avait été acquis par la Ville après qu’une partie de sa toiture se soit écroulée. Il avait été sauvé de la démolition grâce à un avis défavorable des Bâtiments de France et à la mobilisation de l’Association des Amis du musée sundgauvien et du patrimoine, dans un souci de «sauvegarde du quartier», comme l’explique son président, André Braunstedter. Après des travaux de sécurisation, il devait être revendu par la Ville.
Photo Nicole Grentzinger

L'accident fait débat :

L'accident s'était produit le 21 octobre dernier.  / source Dernières Nouvelles D'alsace, Vendredi 31 Octobre 2008. Julien Steinhauser


« apporter toutes les informations et commentaires nécessaires après l'accident survenu le 21 octobre aux n°18 et 20 de la rue du 3 eme Zouaves ». Ce jour-là en effet, deux ouvriers de la Ville se blessaient lors de l'effondrement d'un plancher. L'un des deux salariés est toujours en arrêt de travail, l'autre a repris son poste. Tous deux souffraient ...
La chute d'échafaudage reste inexpliquée
Lundi vers 16 h 15, un couvreur de 22 ans a fait une chute de 11 mètres après la rupture d'un échafaudage rue du Docteur-Pozzi, au centre-ville de Reims (notre précédente édition).
Aux dernières nouvelles, l'état du blessé grièvement touché à l'épaule et au dos notamment se serait amélioré. Il s'agit d'un jeune homme originaire des Pyrénées-Atlantiques, actuellement en résidence chez les Compagnons du devoir à Reims, boulevard Charles-Arnould (et non boulevard Albert-1er comme écrit hier par erreur).
Il est encore trop tôt pour connaître les raisons de l'accident qui a vu l'armature de l'échafaudage se décrocher du haut de la façade. Mauvaise fixation ?

Défaillance du matériel ? Imprudence du couvreur ? Une enquête conjointe de la police nationale et de l'inspection du travail a été ouverte.

Source : 31 octobre 2008 - L'union l'ardennais
Chute d'échafaudage quartier du Corniguel - Quimper

Les pompiers sont intervenus lundi après-midi, peu avant 17 h, rue de Kervilien, dans le quartier du Corniguel, pour porter secours à un particulier qui avait chuté d'un échafaudage. L'homme, âgé de 40 ans, a chuté d'une hauteur de trois à cinq mètres alors que son échafaudage versait sur une voiture. Souffrant d'une fracture au bras droit, il a été transporté par les pompiers à l'hôpital Laennec.

Source : Ouest France / mardi 26 août 2008

Un entrepreneur dans le coma suite à la chute d'échafaudage à Tournissan

Jean-Marie Maserou, un chef d'entreprise demeurant à Montserret a été transporté mardi après-midi à l'hôpital de Montpellier dans un état très grave après avoir fait une lourde chute suite à l'effondrement d'un échafaudage. L'entrepreneur travaillait avec son employé, un ouvrier âgé de 25 ans, sur la façade d'une maison à Tournissan lorsque, sûrement sous l'effet du vent, la structure a soudainement basculé. Les sapeurs pompiers de Lagrasse se sont rapidement rendus sur les lieux et, après avoir déblayé la rue, ont pris en charge les victimes. Le jeune employé, souffrant de blessures légères, a été conduit à l'hôpital de Narbonne tandis qu'un hélicoptère était appelé pour prendre en charge le chef d'entreprise inconscient et touché au crâne.

La gendarmerie a ouvert une enquête sur cet accident du travail et procède actuellement aux vérifications d'usage quant au respect des normes de sécurité sur le chantier et sur l'échafaudage.

Source : La dépêche 15 novembre 2007
Un travailleur des Services d’entretien est blessé lors de la chute d’un échafaudage
Monté sur un échafaudage afin de vérifier des luminaires au plafond du stationnement de la Place des Arts, le travailleur a été projeté au sol quand l'échafaudage, en déséquilibre, est tombé. L'enquête révèle, entre autres, que les directives quant au montage et à l'utilisation de l'échafaudage sont déficientes.
Rappel des faits :Le 6 avril 2005, deux électriciens des Services d'entretien de la société M. installent un échafaudage pour vérifier des luminaires au plafond de la section « sortie » du stationnement de la Place des Arts. Le travail terminé, l'un des électriciens descend de l'échafaudage qui se met alors en mouvement. L'autre électricien, qui se trouve encore sur la plate-forme supérieure, est projeté au sol lorsque l'échafaudage tombe. Au moment de l'impact, il heurte une barre de métal, ce qui lui occasionne des blessures.
Constatations : L'enquête a permis aux inspecteurs de retenir deux causes pour expliquer l'accident :
-  la bague de serrage du mécanisme de verrouillage d'une des quatre pattes de l'échafaudage n'est que partiellement installée; 
es directives quant au montage et à l'utilisation de l'échafaudage sont déficientes.
Le  Services d'entretien de la société M. et le fournisseur de l'échafaudage, Place des Arts, ont agi de manière à compromettre la sécurité des travailleurs. En conséquence, ces entreprises sont passibles d'une amende.
Exigences : une interdiction d'utilisation de l'échafaudage impliqué dans l'accident et de toutes les sections compatibles avec cet équipement.
·         a été précisé au fournisseur de l'échafaudage, Place des Arts, les mesures à prendre avant de réutiliser l'échafaudage, notamment la réparation, la vérification et la mise en application d'un programme d'entretien préventif de cet équipement;
·         a été exigé de l'employeur de la société M. un programme de formation et d'information de ses travailleurs sur l'utilisation sécuritaire d'un échafaudage.
Suivi de l'enquête : Pour éviter qu'un tel accident ne se reproduise, lil est demandé aux fournisseurs d'échafaudage :
·         de rappeler à leurs clients les règles de sécurité à appliquer pour rendre sécuritaire l'utilisation d'un échafaudage, notamment :
- l'inspection de l'échafaudage avant l'utilisation pour s'assurer du bon état des verrous;
- la formation des travailleurs sur le montage et l'utilisation sécuritaire de cet équipement.
·         de s'assurer que les règles de sécurité sont visibles, en tout temps, sur un échafaudage, par exemple, sur des autocollants;
Toulouse. Le patron qui n'était pas sur place jugé responsable de l'accident

Correctionnelle. Un entrepreneur octogénaire répondait d'un accident de chantier il y a sept ans.

 

« Il a fallu que j'arrive à 80 ans pour être condamné au tribunal. Monsieur le juge, c'est malheureux quand même »… Très vexé, ce vieux monsieur à l'accent toulousain s'est retiré du tribunal la mine longue après avoir entendu le président Roussel lui annoncer sa peine : quatre mois de prison assortis d'un sursis. « Je sais bien que vous n'êtes pas un dangereux délinquant, mais il faut penser à la personne qui a eu l'accident » a répondu en substance le juge. Patron d'une entreprise familiale de bâtiment de 90 salariés, M. P. 80 ans, comparaissait pour un accident survenu il y a sept ans lors de la construction d'un escalier de secours à Leclerc-Blagnac. Un ouvrier avait fait une chute de plus de quatre mètres en tombant d'une échelle. Ce 7 septembre 2001, Idrissi, 43 ans à l'époque, était en haut d'une échelle appuyée sur un mur. Les ouvriers positionnaient une dalle de plusieurs centaines de kilos sur quatre murs de parpaings qui apparemment n'étaient pas consolidés par un échafaudage. L'édifice s'est effondré entraînant l'ouvrier qui a été gravement blessé. Depuis, ce maçon souffre d'importantes séquelles et n'a jamais pu retravailler. Son avocat a estimé le préjudice à plus de 90 000€.

Le tribunal devait déterminer les responsabilités pénales entre trois personnes qui comparaissaient ensemble : le patron de l'entreprise, son chef de chantier et le sous-traitant qui employait le maçon accidenté. « Trois personnes honnêtes qui n'ont rien à faire au tribunal correctionnel » note Me Bréan, avocat de l'entrepreneur octogénaire. Ce dernier a été jugé responsable dans cet enchaînement de négligences: 4 mois de prison avec sursis et 1 500 € d'amende. Le sous-traitant, responsable aussi: 2 mois avec sursis et 800 € d'amende. Le chef de chantier, qui était sur les lieux de l'accident, a lui été relaxé.

Source : La dépêche / mai 2008
Justice. Le maçon avait chuté de 8 mètres

Le patron d'une entreprise du bâtiment est condamné à deux mois avec sursis et 2 500 € d'amende, suite à un accident qui a coûté ses jambes à l'un de ses ouvriers.
Philippe Pratdessus, patron d'une entreprise de maçonnerie apparaît sincèrement affecté, à la barre, ce mardi, devant le tribunal correctionnel de Tarbes.
À côté de lui, dans un fauteuil roulant, Patrick Sabatut, ancien chef de chantier, victime d'un accident du travail qui l'a rendu paraplégique, le 13 juin 2005, à Ibos.
Il travaillait au 3e étage d'une résidence en construction quand, soudain, il a chuté d'une hauteur de 8 m.

Source : La dépêche / avril 2008


 

Tribunal correctionnel. Son employé avait chuté d'un échafaudage

Un salarié de l'entreprise Socabat se blesse grièvement. L'employeur se retrouve devant la justice.

 

Infraction à l'hygiène et à la sécurité du travail avec blessures involontaires ayant entraîné une interruption temporaire de travail supérieure à trois mois : tel est le motif pour lequel Raymond Campo, le responsable de l'entreprise Socabat à Saint-Lary a comparu, mardi, devant le tribunal correctionnel de Tarbes.

Les faits remontent au 29 mars 2006. Ce jour-là, un salarié en charpente-couverture est tombé d'un toit, a fait une chute de six mètres et a été gravement blessé.

Il n'y avait pas de filet de protection sur le chantier et l'employé ne portait pas de casque. Nicole Lauda, la présidente du tribunal correctionnel a aussi fait remarquer « qu'il n'y avait pas de garantie de stabilité des échafaudages ».

Maître Fillastre, l'avocat de la victime a considéré que cet accident du travail est survenu dans des circonstances particulièrement malheureuses. Il a souligné que son client avait été embauché comme maçon et qu'il était employé comme charpentier. « Il n'a rien demandé. On l'a fait devenir charpentier. Il n'a reçu aucune formation. Pourtant, la Socabat est la grosse entreprise de la vallée avec 49 salariés et de nombreux intérimaires » a fait valoir Maître Fillastre qui a précisé que pour un chantier EDF, on exige des conditions particulières aux entreprises, notamment en matière de sécurité.

« Mais il y a le papier et la réalité. On se moque des engagements au détriment des employés. Si les filets de sécurité avaient été posés, mon client s'en serait tiré sans trop de mal » s'est indigné l'avocat.

« Un salarié doit avoir la garantie de pouvoir rentrer chez lui le soir, après son travail » a martelé Laurent Griffon, le procureur de la république qui s'est adressé à M. Campo en lui indiquant « qu'être responsable d'entreprise, cela a un sens ». Le magistrat a demandé un mois avec sursis et six peines d'amende de 500 € pour les salariés placés en situation de danger, à l'encontre de M. Campo.

« On tape sur un chef d'entreprise. C'est un peu trop facile » a déclaré Maître Manelfe, l'avocat de M. Campo qui a qualifié de « sévères » les réquisitions du procureur.

« Il y avait un maître d'ouvrage et un maître d'œuvre qui devaient chapeauter ce chantier. Un plan général de coordination aurait permis de remarquer les défaillances. Il y a une co responsabilité dans cet accident de travail » a expliqué l'avocat pour qui il s'agit « d'un concours de circonstances, d'une négligence et non d'une faute délibérée ».

L'affaire a été mise en délibéré. Le jugement sera rendu le 18 septembre.

Source : La dépêche 6 septembre 2007 Christian Sarrabayrouse
 Un tragique accident est survenu : échafaudage contre ligne électrique
  Un tragique accident est survenu. Un homme est mort et deux autres ont été blessés.
Les trois hommes transportaient un échafaudage afin d'effectuer des travaux sur un immeuble de logements, lorsque l'équipement a heurté des fils de 25 000 volts. Un homme est mort sur le coup. Les deux autres ont été transportés à l'hôpital. L'un d'eux a été transféré au Centre des grands brûlés de l'hôpital .
On ignore pour l'instant la gravité des blessures des deux travailleurs.
L'électricité a été coupée à la suite de l'accident, privant de courant plus de 2000 résidents du secteur.
EFFONDREMENT D'ECHAFAUDAGE :
 

Drame dont les victimes sont deux ouvriers qui ont trouvé la mort suite à l’effondrement d’un échafaudage.  L’accident a eu lieu aux alentours de neuf heures du matin. Les madriers qui servaient de support pour les deux ouvriers ont cédé provoquant une énorme déflagration. Les deux ouvriers ont fait une chute d’environ trente mètres. Leurs corps ont percuté le sol se blessant grièvement. Les deux victimes ont été ensuite transportées dans un hôpital de la place où ils ont succombées à leurs blessures. Aussitôt informées, les autorités ont ouvert une enquête après avoir ordonné l’arrêt des travaux sur le chantier. Un responsable de ce même chantier a été conjointement arrêté pour les besoins de l’enquête.

 
Effondrement d'un échafaudage à l'aéroport de Nice : mort d'un des blessés
Un des trois ouvriers blessés mercredi matin à la suite d'un accident de chantier à l'aéroport de Nice a succombé à ses blessures, a appris l'AFP vendredi matin auprès de la police de l'air et des frontières (PAF).
L'homme, âgé de 48 ans, avait été blessé dans la chute d'une nacelle sur le chantier de construction du nouveau bloc technique de l'aviation civile, situé près de la tour de contrôle dans une zone non accessible aux voyageurs.
Ses deux collègues sont toujours hospitalisés.
L'enquête sur les causes de cet accident a été confiée à la PAF qui a compétence sur la zone aéroportuaire.
Source : Le Moniteur
 

Corse - Trois ouvriers tués sur le chantier d'un pont en Corse

 

La passerelle d'un échaffaudage de 30 mètres de hauteur avait été installée 20 minutes avant l'accident, à Petreto-Bicchisano, en Corse-du-Sud. 

L'enquête devra définir si la passerelle avait été mal construite. 

Trois ouvriers ont été tués samedi quand s'est effondré leur échafaudage accroché à un pont en construction à Petreto-Bicchisano, en Corse-du-Sud. Deux sont morts sur le coup samedi matin, un troisième est décédé des suites de ses blessures dans l'après-midi à l'hôpital d'Ajaccio. La passerelle métallique, servant à la circulation des ouvriers, "venait d'être mise en place une vingtaine de minutes avant l'accident", quand elle s'est brusquement détachée de ses points d'ancrage avant de s'écraser d'une hauteur de 30 mètres.

Le procureur de la République d'Ajaccio a expliqué que les deux ouvriers étaient "morts écrasés dans un amas de pièces métalliques", tandis que le troisième homme avait été dégagé par les pompiers et transporté par hélicoptère au centre hospitalier d'Ajaccio, dans un état jugé "très grave" par le médecin du SAMU présent sur place. "Le corps d'une des victimes demeure pour l'instant inaccessible aux pompiers. Dès que possible, une autopsie sera pratiquée sur chacun des corps", a expliqué le procureur de la République d'Ajaccio qui a ouvert une enquête en flagrance pour "homicide involontaire dans le cadre d'une activité en relation avec le travail", une procédure systématique "en cas d'accident du travail".

Absence de vent

Les gendarmes de la brigade de recherche de Sartène ont procédé à l'audition d'une quinzaine de personnes présentes sur le chantier, dont le grutier qui avait mis en place la passerelle. Selon plusieurs ouvriers, "un craquement très intense s'est fait entendre au moment de la chute de la passerelle, qui a semblé céder sous son propre poids et en l'absence totale de vent. Ce qui porte à croire qu'un défaut de fixation est à l'origine du drame", selon le procureur.

"Les responsables de la société qui employait les victimes, basée en région parisienne, sont attendus en Corse avant la fin de la journée. Ils seront entendus à leur arrivée. Les services de l'inspection du travail vont également procéder à des vérifications", a-t-il ajouté. Les ouvriers travaillaient sur le chantier de construction d'un pont enjambant la rivière Taravo, a proximité de l'axe routier reliant Ajaccio à Sartène, en Corse-du-Sud. Les travaux entamés en 2005 pour construire cet ouvrage de 204 mètres de long doivent se terminer en juillet 2007. 

 
Source LC1 - 4 février 2007
 Effondrement d'échafaudage :  
   

Les enquêteurs de la CSST (canada) poursuivent leur enquête sur les causes de l'accident qui a fait six blessés, dimanche, sur un chantier de construction dans le quartier Rosemont, à Montréal.

Les six hommes ont été blessés lorsqu’un échafaudage et un mur de briques se sont effondrés.

Trois des victimes sont dans un état jugé critique; ils souffrent notamment de traumatisme crânien, de rupture de la colonne cervicale et de multiples fractures. Les autres s'en sont tirés avec des blessures relativement mineures.

Les travailleurs procédaient à des travaux sur l'immeuble quand leur échafaudage s'est écroulé, entraînant avec lui le mur de briques.

 
Bourrasque de vent et echafaudage ?
 

Bourrasque de vent : un échafaudage à terre.

Mardi 15 février 2006 au petit matin la pluie et le vent étaient au rendez-vous au café-restaurant du Chien qui fume.
Une bourrasque de vent un peu plus forte que les autres s’est faufilée sous les bâches plastiques d’un échafaudage dressé là pour un ravalement de façade d’un immeuble de la rue
Ferragus.

Cette bourrasque a eu raison de l’échafaudage.
Fort heureusement aucun ouvrier et aucun passant n’étaient là au moment de l’effondrement de la structure métallique.

On imagine très vite le drame auquel on a échappé si la chute de l’échafaudage était intervenue un jour de marché !

 SAUVETAGE PAR HELICOPTERE SUITE A CHUTE D'ECHAFAUDAGE
 
 

C'est un sauvetage d'un genre très rare ... Deux ouvriers étaient sur un échafaudage qui s'est effondré. Ils ont fait une chute de deux étages. Comme les ambulanciers ne pouvaient pas les atteindre, les secours ont appelé Air-Glaciers. Et voilà l'Alouette III en action en pleine ville de Sion ! 

 

 

Saint-Omer : un échafaudage s'effondre 

  Conséquence de la tempête, un échafaudage s'est écroulé sur la cathédrale de Saint-Omer causant d'importants dégats. Une partie de la tourelle s'est effondrée, brisant plusieurs vitraux dans sa chute...
Notre-Dame de Saint-Omer, conséquence d'une tempête
(13/02/07)
Suite à la tempête qui s'est abattue le 18 janvier dernier sur l'Europe, l'échafaudage de la cathédrale Notre-Dame de Saint-Omer s'est effondré, endommageant 20 m de balustrades, une tourelle ainsi que la verrière de la troisième chapelle et trois pinacles. L'architecte en chef des Monuments historiques et le chef du service départemental de l'Architecture et du patrimoine se sont rendus sur place afin d'évaluer les
dégats puis de prendre les mesures conservatoires nécessaires. Objet d'un programme de restauration de 3,15 M HT, auquel l'Etat contribue à 50 %, cet édifice est classé au titre des Monuments historiques depuis 1840. Edifiée entre le XIIe et le XVIe siècle, cette cathédrale en grande partie gothique est réputée pour la richesse de son mobilier et l'importance de ses verrières.
 La façade d’un immeuble s’effondre dans Paris  
  
 

Samedi 30 mars, aux environs de 17h00, les rues Tholozé et Durantin étaient fermées à la circulation. Au bas de la rue, plusieurs camions de pompiers ainsi que des barrières interdisaient l’accès aux véhicules et aux piétons. Au trois quarts de la rue environ, depuis le bas de celle-ci, un camion de pompier était stationné, la grande échelle déployée. Le côté haut de la rue était lui fermé par la police.

Les forces de police chargées d’interdire l’accès aux touristes et aux riverains ont expliqué que la façade intérieure, côté cour, de l’immeuble du 24 de la rue Tholozé s’était effondrée aux environs de 16h00. Aucune victime n’était à déplorer, l’immeuble étant muré et inhabité depuis plusieurs années. Les immeubles aux numéros 22 et 26 avaient été aussitôt évacués et la rue bouclée. Toujours selon la police, la façade s’est effondrée principalement dans la cour de l’immeuble mais également dans la cour de l’immeuble en vis-à-vis. Ce dernier est habité mais par chance personne ne se trouvait dans la cour au moment de l’accident.

Selon un habitant du quartier, l’immeuble en question était inhabité depuis « trente ans  » et laissé à l’abandon par son propriétaire. Pendant un temps celui-ci avait servi de squat avant d’être muré. Toujours selon le riverain, l’effondrement a sans doute été provoqué par les intempéries et les infiltrations de l’eau dans l’immeuble abandonné à lui-même. Les jours précédents, le riverain avait surpris et invectivé des enfants jouant sur l’échafaudage posé contre la façade extérieur de l’immeuble.

Voir également : http://www.lemague.net/dyn/spip.php ?article4671

Note : La rue Tholozé est au cœur du 18e, haut lieu du tourisme à Paris, à quelques pas de la rue des Abbesses, du moulin de la Galette, du café et de l’épicerie d’Amélie Poulain, du cinéma Studio 28 et de la maison de Dalida.

 Accident mortel : chute de hauteur - Janvier 2006

 Un accident mortel est survenu le 25 janvier 2006 sur un site industriel de Bourg-en-Bresse lors d'une intervention de démontage confiée par le donneur d'ordres à une société extérieure. Au cours des travaux qui avaient nécessité le démontage d'un garde-corps situé sur la plate-forme d'une hauteur de 2,4 m, un technicien de maintenance de l'entreprise utlisatrice, apparemment venu saluer le technicien de l'entreprise extérieure, est tombé en arrière depuis la plate-forme par l'endroit où le garde-corps avait été enlevé, chutant sur la tête. Le périmètre du chantier était signalé par une banderole souple. L'absence du garde-corps avait été signalée par ce même type de banderole.  Source : GIE Casq - 13/03/06
 Chute mortelle d'un caillebottis - Octobre 2005  .
Mardi 11 octobre à 2h50 sur un site papetier de l'Est de la France, lors d'une opération de maintenance sur un filtre à disques, un employé d'une entreprise extérieure a fait une chute de 7 m. Dans la zone de travail de l'équipe composée de 3 mécaniciens, une partie du caillebotis et un garde-corps étaient démontés. Un balisage avait été mis en place. Un mécanicien fait ressortir une élingue de l’intérieur du filtre à disques en déplaçant le pont. Un deuxième mécanicien voulant aider à stabiliser l'élingue en mouvement est entraîné dans le vide et fait une chute mortelle. L'enquête est en cours afin de déterminer les causes exactes de cet accident. Source : GIE QS+ Entreprises - News du 11/10/05


EN TIRER DES LECONS


Chute du haut d'une tour escalier ( démonstration de nos voisins SUISSE sur le site SUVA )





Un monteur-échafaudeur se blesse grièvement en faisant une chute de 10 m dans le vide durant les travaux d'installation d'une tour escalier.

La tour escalier devait servir d'accès sur le toit d'un hangar. Le monteur-échafaudeur n'avait installé qu'une volée d'escalier prolongée d'étage en étage. Entre le cinquième et le sixième, la volée n'avait pas été montée correctement. L'escalier a cédé sous le poids de l'ouvrier, qui s'est grièvement blessé en faisant une chute de 10 m dans le vide.

L'enquête d'accident a révélé que le monteur-échafaudeur n'avait pas respecté l'ordre des étapes de montage et ne portait pas d'antichute.

Quelques conseils pour éviter ce type d'accident

Cadres et employeurs

  • Etablissez un concept de sécurité basé sur l'appréciation des risques du chantier.
  • Fournissez la formation et les instructions correspondant aux méthodes de travail prévues.
  • Imposez et contrôlez l'observation des règles de sécurité en vigueur.

Travailleurs

  • Les ponts d'échafaudage doivent être construits de façon à toujours être équipés d'accès sûrs. Les volées d'escalier ne doivent jamais être démontées afin d'être réutilisées plus haut.  
  • Lors du montage d'une tour escalier, chaque pont d'échafaudage doit être entièrement installé avant de monter le suivant.
  • L'échafaudage doit être construit de façon que l'ensemble de ses composants soient assurés contre tout déplacement involontaire.
  • L'échafaudage doit être monté et démonté selon les instructions mentionnées dans le feuillet d'information Suva "Echafaudages de façade – Sécurité lors du montage et du démontage"(Le lien est ouvert dans une nouvelle fenêtre) 






Mis à jour : 07/07/2011

 

 


 
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