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  .Aquila Glossaire
  Cuve de vigneron
 

ACCIDENT CHEZ LES VIGNERONS

 

Trois types de risques méritent d’être signalés :

 Les risques dus à l’utilisation de machines non conformes ou non maintenus en conformité comme les tracteurs vignerons et des enjambeurs (risque de renversement)

 Les risques liés à l’utilisation des produits phytosanitaires, mauvais réglage des pulvérisateurs, mauvais entretien des cabines filtrantes, non respect de rentrée dans les parcelles traitées...

 Les risques propres au travail dans les chais, risque de chute, de glissade, d’intoxication à l’occasion de travail dans les cuves (CO², SO²,) et de manutention (tuyaux, barriques)


Prévenir les risques liés à l'intoxication au CO2 en cave de vinification

cave à vin

Avant de pénétrer dans une cuve à vin, il est d'usage dans le milieu viticole de s'assurer de l'absence de CO2 par la technique du briquet ou de la bougie. Test mortellement dangereux.

 

Rapelons que, dans le milieu naturel, l'air ambiant non confiné est composé de 4/5 d'azote, 1/5 d'oxygène et de seulement de 0,03 % de CO2.

Selon le test du briquet, celui-ci s'éteint lorsqu'il n'y a plus que 15,6 % d'oxygène dans l'air. L'oxygène est substitué par du CO2. Compte tenu des proportions azote-oxygène dans l'air, une diminution de 5 % d'oxygène représente une valeur de 25 % de CO2, c'est bien l'absence d'oxygène qui est mesurée et non le taux de CO2. Le test n'est donc pas fiable.

La meilleure façon de détecter et de quantifier le gaz carbonique est d'investir dans du matériel spécifique, par exemple un détecteur portatif que l'on peut amener partout avec soi.

Par ailleurs, il est vital de ventiler une cuve avant d'y pénétrer soit par aspiration soit par refoulement de l'air. Parmi les moyens de prévention, il est également possible de capter le CO2 dès sa production.

Quelques rappels : 
La période la plus dangereuse se situe en principe de début septembre à fin octobre ou la quantité de CO2 dans l'air en cave dépasse souvent 0,5 %. la valeur limite d'exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée.

Au-delà les effets sur la santé sont d'autant plus graves que la teneur en CO2 augmente :

A 4 %, la fréquence respiratoire s'accélère. 
A 10 %, des troubles visuels peuvent apparaître ainsi que des sueurs et des tremblements 
A 15 %, c'est la perte de connaissance 
A 25 %, un arrêt respiratoire peut entraîner le décès.

Source : MSA 47









Quelques exemples à proscrire obligatoirement sous peine de M....

chateau-chenas cuve 06 par gilletdaniel
chateau-chenas cuve 05 par gilletdaniel
nettoyage de cuve au chateau de Chenas  nettoyage de cuve au chateau de Chenas 
chateau-chenas cuve 02 par gilletdaniel
chateau-chenas cuve 01 par gilletdaniel
transfert du raisin au chateau transfert du raisin au chateau
fleurie coop nettoyage 02 par gilletdaniel
 
nettoyage d'une cuve à la coopérative de Fleurie 
Le DECUVAGE : A la fin de la macération, nous retirons le vin de goutte.
(Photo 1 : Cécile est dans la cuve et extrait le marc vers la presse. Photo 2 : Thierry effectue la même opération.)
 

 
Fleurie coop 12 par gilletdaniel
 Il nettoie le fond de la cuve à raisins Aprèes les avoir chauffés.  transfert du raisin , cave coopérative de Fleurie 



 


 

Mort en nettoyant une cuve à vin à Sancerre

Luke Jones est le fils de la femme (une Australienne) de Pascal Gitton, vigneron à Ménétréol-sous-Sancerre. Il était chef de cave au domaine Gitton Père & Fils.

Plus d’une demi-heure dans la cuve : Quand les pompiers ont été prévenus, vers 15 h 20, et sont arrivés sur place, le jeune homme était dans la cuve depuis plus d’une demi-heure et déjà mort. « Ce genre d’accident est le danger principal dans une cave », regrette Benoît Roumet, directeur du Bureau interprofessionnel des vins du Centre (BIVC), basé à Sancerre. Lorsque le jus de raisin fermente, le sucre, sous l’effet des levures, se transforme en alcool et produit du gaz carbonique. Ce dioxyde de carbone (CO2) provoque une perte de connaissance et une mort par asphyxie.

Une fois vidée, la cuve contient encore du gaz. « C’est même à ce moment-là que c’est le plus dangereux, explique Benoît Roumet. Car quand les cuves sont pleines, on sent très vite qu’on manque d’air dans la cave et on peut aérer. » 


Source le JDC.fr

     

 Source : La Nouvelle République
Cliquer sur les images pour lire le reportage en entier

Morts intoxiqués dans une cuve à vin     Du raisin... au vin!

Un cheval est en train de courir dans le champ. À côté, poules et canards se baladent dans l'enclos. Sur la porte de la ferme figure encore le scellé des gendarmes. Dans ce lieu-dit de "Bellevue", à Roiffieux, l'endroit est plus que calme ce dimanche. Un drame s'y est pourtant joué samedi soir. L'épouse du propriétaire de la ferme est revenue sur place. Effondrée. Comme les habitants du quartier, qui sont aussi sous le choc. Juste à côté de chez eux, deux Réfocaliens sont décédés samedi : Daniel Moulin, 48 ans, et Gérard Dachis, 50 ans. Comment ? L'enquête, menée par la communauté de brigades de gendarmerie d'Annonay, devra en déterminer les circonstances exactes. Mais une hypothèse est déjà privilégiée, tellement les faits paraissent évidents.

Des méthodes traditionnelles pour la vinification

Cette journée de samedi s'annonçait festive pour ces trois habitants de Roiffieux venus aider un ami, agriculteur à la retraite et propriétaire d'une petite ferme. Il possède quelques plants de vigne et produit du vin pour sa consommation personnelle.
Après les vendanges, place donc à la vinification. Et les traditions sont, ici, vraiment respectées. Comme par le passé, ce petit groupe d'amis a débuté le pressage du raisin avec ses pieds, dans une cuve de quatre mètres cubes environ. Or, en même temps, et naturellement, se produit une réaction chimique. Quand le sucre du raisin se transforme en alcool, des émanations de CO² apparaissent. Ce gaz peut se révéler mortel s'il est respiré dans un endroit non ventilé. Sans qu'ils s'en aperçoivent immédiatement, Daniel Moulin et Gérard Dachis auraient trop respiré de CO² dans ce local confiné. Ils sont tombés, inconscients, dans la cuve de foulage.

Deux autres personnes légèrement blessées

Les pompiers d'Annonay ont été appelés vers 20h 10. Deux équipes du Smur sont également intervenues sur place. Ils ont tout tenté sur place pour sauver les deux Réfocaliens. Mais il était trop tard. En voulant leur porter secours, le troisième du groupe d'amis et un pompier de Roiffieux ont été légèrement intoxiqués. Ils avaient, eux aussi, respiré trop de CO². Ils ont été hospitalisés à Annonay. Ils s'en sortent très choqués mais indemnes.
Un médecin légiste doit maintenant examiner les deux corps pour savoir s'il est nécessaire de pratiquer une autopsie. Il s'agit de déterminer, sans ambiguïté, les causes exactes de ce drame. Daniel Moulin était propriétaire d'une entreprise de récupération de métaux à Roiffieux. Gérard Dachis était aussi bien connu dans la commune : son frère travaille à la mairie. Tous deux étaient célibataires, sans enfant.

Source :  Robin CHARBONNIER   


Qu'est-ce qui s'est passé?
Ils étaient quatre amis, ce samedi, à perpétuer les traditions du foulage du raisin. Dans une ferme de Roiffieux, en Ardèche, ils étaient en train d'écraser le raisin d'une petite parcelle appartenant à un agriculteur à la retraite. Cette production n'était destinée qu'à un usage personnel.
Ils pensaient bien faire... jusqu'au drame. Deux d'entre eux, qui étaient dans la cuve, ont été victimes d'un
malaise qui les a laissés inconscients.

Comment c'est possible?
Ils ont très vraisemblablement respiré trop de CO² (dioxyde de carbone) puisque le malaxage du raisin en dégage en quantité.

Les secours n'ont rien pu faire? 
Non. Les équipes du Smur et les pompiers ont tenté tout ce qu'ils pouvaient pour sauver les deux hommes. Mais ces deux Réfocaliens âgés de 48 et 50 ans, sont décédés sur place.

Et les 2 autres? 
Un autre a été légèrement blessé. Tout comme un pompier de Roiffieux qui était venu porter secours. Tous ont également respiré trop de gaz carbonique.

Hospitalisés au centre hospitalier d'Annonay, ils ont pu, eux, s'en sortir indemnes.

L'enquête est menée par la communauté de brigades de gendarmerie d'Annonay. Un examen des corps devra déterminer si une autopsie est nécessaire pour connaître, de manière sûre, les raisons des décès.

Source : le Dauphiné libéré - 20 octobre 2008

Intoxiqués

Douze pompiers d'Annonay, aidés notamment de ceux de Roiffieux, sont venus porter secours dans la ferme au lieu-dit "Bellevue", là où s'est produit le drame samedi soir.
 





Accident mortel lié au gaz
08.10.2008 Vers 17h30 : Un père de famille de 42 ans perd la vie dans une cave à vin. Après une journée de vendanges, un viticulteur s’occupait, avec son père, de la mise en route d’une macération à froid dans plusieurs cuves à vin. Durant une absence de son père, parti cherché des fournitures au cercle d’agriculture, l’agriculteur se penche au dessus d’une de ses cuves afin de récupérer ses lunettes (hypothèse, ces dernières étaient au fond de la cuve). Il introduit un bras et la tête. La cuve est saturée de CO2, il perd la vie.
Survenu en Belgique
 Décès d’un viticulteur à Corsier
 Le fils d’un exploitant vigneron de Corsier est décédé hier en début de soirée aux abords d’une cuve métallique.

 

Le fils d’un exploitant vigneron de Corsier est décédé mercredi en début de soirée aux abords d’une cuve métallique. L’homme, né en 1966, nettoyait cette cuve à vin à l’intérieur d’une grange viticole, lorsque l’accident, dont les causes sont encore indéterminées, s’est produit.

Les proches de la victime ont appelé les secours sur le coup des 18 h. Le Service d’Incendie et de Secours (SIS) a dépêché quatre véhicules et 12 hommes sur place. L’hélicoptère des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) est également intervenu ainsi qu’un médecin privé.

Malgré des tentatives de réanimation de la part des médecins qui ont duré plus d’une demi-heure, le viticulteur est décédé sur place.

Malaise ou chute après inhalation de vapeurs toxiques dues à la fermentation du raisin? Les causes du décès ne sont pas encore établies. L’accident s’est néanmoins produit dans un «environnement de vinification».

La police s’est également rendue sur les lieux. «Nous avons été avertis à 17 h 50», précise Patrick Pulh, porte-parole. «Le décès de ce viticulteur est vraisemblablement accidentel.»

 

Source : Ch.D | 09.10.2008 - Suisse
Chute dans une cuve : Etat stationnaire pour la victime
Hier soir, Fabien Chauvenet était toujours dans un état critique, après sa chute mercredi en début d'après-midi dans une cuve servant à collecter les bourbes (voir nos éditions d'hier), installée entre Meursault et Puligny-Montrachet. Malgré tous les efforts des secours, le jeune homme de 27 ans, domicilié à Lacanche, n'avait pu être remonté qu'au bout de 55 minutes, pour être immédiatement transporté par hélicoptère au CHU de Dijon.
Source : Le Bien Public : vendredi 24 août 2007 Meursault
ACCIDENT Un viticulteur asphyxié dans un cuvier de vendanges

Une journée de vendanges s'est terminée tragiquement mardi soir pour un viticulteur qui est mort asphyxié par le gaz de la fermentation dans un cuvier, à Montagnac-des-Auberoche, en Dordogne (sud-ouest de la France). Vers 22 h, Mme Alemps, inquiète de ne pas voir revenir son mari René, parti surveiller la fermentation du raisin, s'est rendue dans la cave où la vendange écrasée fermentait dans un grand cuvier. En grimpant sur une petite échelle, elle a découvert son mari gisant à plat ventre sur le raisin. Sorti de cette dangereuse position par l'un de ses fils, René Alemps, asphyxié par le gaz de la fermentation, est décédé peu après.

Source : La Dernière Heure 2005
BELOEIL Accident fatal à la malterie: le prévenu acquitté!

2005

David Robette avait 23 ans. Son employeur se retrouve devant la justice

BELOEIL David Robette est mort le 30 mai 1998. Il allait avoir 24 ans. Depuis 12 jours, il travaillait à la malterie du château à Beloeil en tant qu'intérimaire. Ce matin-là, David était probablement en train de nettoyer le sol lorsqu'il est tombé dans une tranchée dans laquelle se trouvait une vis sans fin. Pris jusqu'à la taille, le jeune homme décédera dans l'ambulance. L'acheminement du malt se faisait via un transbordeur. Une vis sans fin se trouvait dans la tranchée pour rendre le transport plus facile. Une plaque métallique devait recouvrir cette tranchée. Mais ce jour-là, la plaque manquait. Suite à cet incident, de nouvelles mesures de sécurité ont été prises. Y a-t-il eu des manquements?

D.J. s'est présenté comme le directeur général du groupe belge qui chapeaute la malterie de Beloeil. Les grands patrons sont irlandais. D.J. est poursuivi pour homicide involontaire par défaut de prévoyance ainsi que pour négligence en matière d'informations quant aux équipements de travail et à la signalisation. «S'il y a un fautif, c'est l'ouvrier qui est décédé», a indiqué le prévenu. «Si la plaque avait été remise, jamais il n'y aurait eu cet accident.»

La partie civile, qui défend les intérêts des parents de David, parle de sabotage de l'instruction puisque les services de secours (pompiers, Smur) avaient été mis en cause. «Il a été démontré que les secours étaient arrivés bien à temps. Il y a eu des manquements au niveau sécurité et l'inspecteur du travail devrait se retrouver au banc des prévenus. Je réclame 25.000 euros pour chacun de mes clients.» D'autres frais (funéraires, de défense) ont été sollicités.

Dangerosité des lieux, faible éclairage, humidité, absence alors de cellules de détection, manque de prévoyance Le ministère public réclame une peine en rapport avec l'issue dramatique.

La défense sollicite l'acquittement. «L'inspection et la médecine du travail ont rendu des rapports favorables à l'entreprise qui a vu son permis d'exploitation renouvelé. La victime elle-même, lorsqu'elle était encore consciente, a dit au responsable de la sécurité avoir commis une bêtise. La sécurité était suffisante.» La SA Malterie du château ayant été citée comme civilement responsable, l'affaire reviendra devant le tribunal correctionnel de Tournai le 19 janvier prochain.

2006


Le tribunal correctionnel de Tournai a rendu son jugement, hier, dans le cadre d'un accident aux conséquences tragiques survenu le 30 mai 1998 à la malterie du Château, à Beloeil. Un jeune intérimaire, David Robette, avait trouvé la mort dans des circonstances atroces. Alors qu'il manipulait un nettoyeur à haute pression, l'ouvrier avait effectué une chute au fond de la machine à broyer le malt! Il avait fallu 1h30 aux secouristes pour extraire du caniveau dans lequel tourne une vis sans fin la malheureuse victime qui n'a pas survécu à ses blessures. Poursuivi pour défaut de prévoyance, un des responsables de l'entreprise (J.-L. D.) a été acquitté de cette prévention et donc mis hors de cause. Malgré l'absence de commande d'arrêt d'urgence, il ressort que le défunt aurait fait preuve d'imprudence en omettant de refermer la plaque métallique du transbordeur.

Source : La Dernière Heure 2006






Statistiques pour l'AUDE ( 1998 )
Dans l'AUDE Vignerons, gare au CO2 !
Avant le début de la récolte des premiers raisins, le monde viticole fait de la prévention. Objectif : réduire les accidents qui émaillent la saison des vendanges.
Pompiers du CODIS, agents de la Mutualité Sociale Agricole, gendarmes et responsables de caves coopératives prodiguent les conseils élémentaires pour éviter les accidents lors de la saison des vendanges. «Nous insistons énormément sur la prévention des accidents explique Jean-Pierre Alfonso responsable à la Mutualité Sociale Agricole. Actuellement ils sont encore trop nombreux. A l'origine de ces incidents, on retrouve les installations électriques, les engins mécaniques et les émanations de gaz carbonique. ( ex Au total sur l'Aude, on en a compté 200 en 1997 ).
Le CO2 mortel
A l'appui de cette campagne de prévention, les pompiers du CODIS ont réalisé une démonstration de sauvetage dans une cuve d'un «ouvrier» axphysié au CO2. «Ce type d'accidents est rare mais il peut tourner rapidement au drame si les gestes de premier secours ne sont pas administrés» explique JeanPaul Bernède adjudant-chef des pompiers. Depuis 1996, plus aucun accident mortel n'a frappé les viticulteurs et vignerons des caves audoises. Que Bacchus soit clément encore une année !
Les accidents du secteur viticole ( 1999 ) en général

Voici quelques résultats statistiques sur les accidents concernant les salariés du secteur viticulture :

8 465 accidents avec et sans arrêt de travail.

Les principaux éléments matériels mis en cause dans les accidents du travail sont :
les sols pour 9 % (glissades),
les sarments pour 6 % (projections dans les yeux),
les petits éléments métalliques pour 6 % (coupures et plaies),
les sécateurs pour 6 % (coupures et plaies),
les tracteurs pour 5 % (chutes).

242 maladies professionnelles déclarées en 1999, 98 % sont des affections péri-articulaires (épaule enraidie, syndrome de canal carpien, tendinite achiléenne).

Source : CCMSA - ORP (Observatoire des risques professionnels)
Secteur Viticulture - France entière - Année 1999

Statistiques en AQUITAINE (2004 )
Les 5000 entreprises viticoles aquitaines emploient près de 60 000 salariés (soit près de 20 000 équivalent temps plein)
Le taux de fréquence des accidents de travails est de 37.7 en viticulture et 38,9 en vinification, légérement supérieur au taux moyen, tous secteurs d’activités agricoles confondus (35.6).
La part des accidents graves (15,5% en viticulture et 14,9% en vinification) est également légérement supérieure à la moyenne agricole (13,1%).. Ces taux sont supérieurs en Aquitaine (42.6), en particulier en Gironde (43.6) (source MSA - Année de référence 2004)

 


 

  

 
 
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