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Accident du travail : l’employé chute d’une échelle - Sargé-lès-le-Mans
Une chute de 3 m, mais sans gravité. Ce mercredi, vers 11 h 30, l’employé d’une société spécialisée dans le bois d’aménagement et de construction, à Sargé-les-Le Mans, est tombé d’une échelle alors qu’il voulait vérifier l’installation de structures métalliques. Souffrant de contusions, cet homme de 38 ans, qui vit à Céton, dans l’Orne, a été transporté par les pompiers au centre hospitalier du Mans.
Un ouvrier devenu tétraplégique après une chute d'échelle : son ancien patron connaîtra la décision du tribunal le 7 mai
ACCIDENT DU TRAVAIL |
Un accident du travail qui a fait basculer la vie d'un homme. Salarié d'une société ... gravelinoise spécialisée dans la pose de fenêtres et de volets roulants. À la barre du tribunal, vendredi, l'ancien patron de l'entreprise, parti à la retraite quelques semaines après l'accident.
Le 3 décembre 2008, Hervé (1), 56 ans à l'époque, installe son matériel chez un particulier. Il doit réparer des volets défectueux, poser un nouvel enrouleur. La routine. Seulement, l'intervention nécessite qu'il effectue des allers-retours à l'intérieur et à l'extérieur de la maison, à plus de quatre mètres de hauteur.
Chute de quatre mètres
« Il a posé une échelle double, qui n'était pas attachée au rebord de la fenêtre », relate la présidente. Et lui, salarié « émérite » de l'entreprise depuis 1995, ne porte pas de harnais de sécurité.
Il était mon meilleur monteur et c'était une intervention pour rendre service à un particulier », explique l'ancien chef d'entreprise. Lui aussi aurait dû être présent. Mais un rendez-vous à l'hôpital l'avait obligé à s'absenter, laissant l'ouvrier seul sur le chantier.
En général, son équipe intervient surtout à l'intérieur des HLM de la région. Hervé, visseuse en main, entame les travaux. Mais, à 11 h 30, il glisse et tombe de l'échelle. La tête la première sur le sol. La victime est rapidement transportée par hélicoptère au centre hospitalier de Lille. Une année de soins, de rééducation. « Son état est maintenant définitif », raconte son avocate. Hervé restera tétraplégique à vie
« Je revis cet accident tous les jours depuis quinze mois », souffle le retraité. L'accident aurait-il pu être évité ? Pour la partie civile, oui. « Le document d'évaluation des risques n'était pas conforme », insiste le tribunal. Manque de formation des ouvriers, entretien pas toujours au top du matériel. Il y avait bien un harnais de sécurité à disposition... dans le camion. Et mal enroulé de surcroît. « La preuve qu'il avait déjà servi », selon l'avocat de la défense
Même les petites interventions doivent faire l'objet d'une attention particulière, insiste la partie civile. Vous auriez dû rappeler à l'ordre vos employés sur les règles de sécurité. » « Mais quelle formation dispenser à un ouvrier qui travaille là depuis quarante ans ? », interroge la défense. « C'est facile, après coup, de dire : "Il aurait fallu". » Il en convient, c'est un drame qui s'est produit. Le seul dans cette entreprise, « en trente ans d'activité professionnelle. À chaque fois qu'il repasse devant les lieux de l'accident, il y pense ». Il y a quelques semaines, l'ancien patron est même retourné sur place, a reconstitué la scène. Pour comprendre.
Le ministère public, quant à lui, pointe plusieurs manquements aux règles. « Vous deviez assurer la sécurité de vos employés.
» Le parquet requiert 1 500 E d'amende dont 700 avec sursis à l'encontre du retraité. 10 000 E dont 3 000 avec sursis pour la personne morale (« Impossible d'engager sa responsabilité », selon l'avocat de l'entreprise). Et une publication de la décision qui sera rendue le 7 mai
tM. D. - (1) Prénom d'emprunt. - Source LA VOIX DU NORD : 21/03/2010
Accident du travail en Mayenne : il chute de trois mètres - Côtes-d'Armor
A la demande de l'accidenté, le reportage a été supprimé du site le 08/10/2011
Source : OUEST FRANCE - 12 janvier 2008
Dans le coma après une chute d'échelle - Lorient
Un Lorientais évacué par hélicoptère de Belle-Ile Un homme d'une cinquantaine d'années, originaire de Lorient, a fait une grave chute dans sa résidence secondaire, mercredi matin à Locmaria en Belle-Ile. Il a été évacué sur le CHU de Rennes par hélicoptère
Source : OUEST FRANCE 2 janvier 2003
Sécurité dans les cultures spéciales : chute de cerisier - Exemples divers
particuliers et personnes agées
18.07.2006 BL: Un homme de 75 ans, occupé à cueillir les cerises avec une échelle, a chuté de 3 m de hauteur sur un sol asphalté et fut grièvement blessé.
Le danger d'accident avec les échelles est généralement sous-estimé. Tester les échelles avant utilisation (échelons, montants), éliminer les échelles défectueuses, positionner correctement l'echelle (env. 70°, contrôle de l'inclinaison avec le coude), munir les échelles de pointes pour les sols mous et de patins en caoutchouc pour les sols en bois et en béton, sécuriser l'échelle de manière à éviter qu'elle ne bascule (sangle, ...), utiliser une ceinture de cueillette, porter des chaussures solides et avec une bonne semelle. Les personnes âgées doivent renoncer aux travaux sur des échelles suivant leur condition physique.
16.07.2006 BL: La rupture d'une branche d'un cerisier a provoqué la chute de une échelle. L'homme qui s'y trouvait chuta d'environ 3 mètres sur le sol. Il s'en sort avec des blessures au dos.
15.07.2006 VD: Un arboriculteur de 60 ans est décédé des suites d'une chute d'échelle survenue dans son verger une semaine plus tôt. Il souffrait d'une fracture du crâne et avait été alors hospitalisé dans un état grave au CHUV.
11.07.2006 BL: Lors de la cueillette des cerises, un homme de 70 ans chuta d'environ deux mètres d'une échelle et fut blessé. 10.07.2006 ZH: Un homme de 81 ans était occupé à la cueillette des cerises quand, soudainement, l'échelle bougea. Il perdit l'équilibre et chuta.
Chute mortelle d'un travailleur - C'est arrivé au CANADA
Le 16 mai 2005, le travailleur fait une chute mortelle d'environ 27 mètres alors que l'échelle sur laquelle il prend place se décroche et qu'aucune protection contre les chutes de hauteur n'est utilisée. L'enquête révèle notamment que l'ensemble de la gestion de la santé et de la sécurité du travail sur le chantier est déficiente.
M. Guy Cusson, un journalier de l'entreprise Silos Roy-Larouche fait une chute d'environ 27 m dans un silo en construction sur la ferme de l'entreprise Les Fermes Rosaire Bienvenu à Saint-Liboire. Une plate-forme élévatrice pour coulée de silos de béton est érigée à l'intérieur du silo en construction. La coulée du béton de ce silo de 6 m de diamètre et de 30 m de hauteur est terminée. L'accident survient lors de la dernière phase des travaux alors que l'on soulève une nacelle, située à 5 m sous la plate-forme, à l'aide d'un treuil hydraulique. M. Cusson prend place, pendant ce temps, sur une échelle devant permettre l'accès à cette nacelle. Lors du levage de la nacelle, l'échelle se décroche de la plate-forme, ce qui entraîne la chute du journalier jusqu'au sol.
L'enquête a permis aux inspecteurs de la CSST de retenir les causes suivantes pour expliquer l'accident :
le travailleur est exposé à une chute libre d'une hauteur de 27 m alors qu'il se trouve sur l'échelle d'accès à la nacelle;
l'installation de la plate-forme rend son utilisation dangereuse. En effet, l'échelle d'accès à la nacelle, dans laquelle prend place le travailleur, est soulevée et est décrochée par la poutrelle de soutien de la nacelle lors de son levage. De plus, cette échelle est suspendue à la plate-forme par des crochets en U qui se décrochent facilement lorsque l'échelle est soulevée;
la méthode de travail pour décoffrer les formes intérieures des coffrages sous la plate-forme est dangereuse;
l'ensemble de la gestion de la santé et de la sécurité du travail de Silos Roy-Larouche et du maître d'ouvre est déficiente.
La CSST considère que les employeurs ont agi de manière à compromettre la sécurité de leurs travailleurs. Par conséquent, un constat d'infraction a été délivré au maître d'ouvre, Les Fermes Rosaire Bienvenu, et d'autres constats d'infraction ont été délivrés à l'employeur, Silos Roy-Larouche.
Méthode de travail dangereuse : Un travailleur de Équipements Dussault fait une chute mortelle
Une méthode de travail dangereuse, une gestion de la sécurité des travaux déficiente et une soudure qui a cédé sont les causes de la chute mortelle de M. Claude Langlois, travailleur chez Équipements Dussault, selon le rapport de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST).
À la suite de son enquête, la CSST rappelle qu'avant d'effectuer des travaux, une analyse de risque doit être faite. Lorsqu'une pièce d'équipement en hauteur doit être réparée, il faut s'assurer que les pièces à réparer ne tomberont pas sur les travailleurs et que ces derniers pourront accéder au lieu de réparation de façon sécuritaire. Cela implique, dans certains cas, d'utiliser deux appareils de levage, un pour les travailleurs et l'autre afin de soutenir la pièce en question.
Le travailleur fait une chute d'environ 7 m
Le 15 avril 2008, M. Claude Langlois, en compagnie d'un contremaître, procède à la réparation d'un tuyau de remplissage de camions à la ferme Bonneau. Ce tuyau est fixé à un silo à grain. Pour effectuer les travaux, les deux employés montent dans le godet d'un chargeur avec une échelle pliable et des outils. Ils se font hisser au maximum de l'élévation du chargeur et ils déploient l'échelle. M. Claude Langlois monte dans l'échelle pour atteindre le manchon de support du tuyau de remplissage. Au cours des manoeuvres de réparation, une soudure cède et le tuyau se déplace en direction du travailleur, qui se trouve à environ 7 m du sol. Il fait alors une chute qui s'avère mortelle.
La CSST retient trois causes pour expliquer l'accident
L'enquête a permis à la CSST de retenir trois causes pour expliquer l'accident. D'une part, une soudure cède, ce qui provoque le déplacement du tuyau de remplissage vers le travailleur. D'autre part, la méthode de travail pour la réparation du tuyau est dangereuse, faisant en sorte que l'impact du tuyau sur le travailleur ou sur l'échelle suffise à provoquer sa chute. Finalement, la gestion de la santé et de la sécurité du travail sur le chantier est déficiente, notamment en ce qui a trait à la supervision des travaux. Aucune analyse de risques n'a été effectuée avant les réparations du tuyau par le contremaître présent sur les lieux.
La CSST interdit la poursuite des travaux de réparation du tuyau de remplissage
Entreprise accusée de négligence - Mort de l'électricien (CANADA)
Alors qu'il s'affairait à changer un câble électrique sur cet escabeau, André Hamelin a reçu un choc électrique de 370 volts qui l'a projeté au sol. Il a succombé à ses blessures quelques semaines plus tard.(Photo:Courtoisie)
Méthode de travail inexistante
Selon l'enquête réalisée par la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), sa mort aurait pu être évitée si le panneau électrique, qui se trouvait au sous-sol, avait été cadenassé pour empêcher que le circuit soit sous tension. «Étant donné que le panneau n'était pas cadenassé, la tension était demeurée à 347 volts. L'employeur aurait dû informer ses employés des risques liés à ces panneaux. Dans son programme de prévention, c'était bien écrit de ne pas travailler sous tension et de toujours cadenasser le panneau électrique, mais il est resté sur le bureau de l'employeur», dénonce Mme Galipeau.
De plus, l'employeur n'avait pas de procédure de travail liée au cadenassage selon Mme Galipeau. «Dans le programme, c'était écrit voir procédure, mais on s'est rendu compte que celle-ci était manquante. L'employeur est arrivé avec le lendemain de l'accident pour faire reprendre les travaux. Ce qu'on lui reproche, c'est de ne pas avoir informé les travailleurs avant», accuse-t-elle.
Étant donné que les procédures liées au cadenassage sont responsables de plusieurs accidents de travail sur les chantiers de construction, la CSST entend insister sur la prévention dans un proche avenir afin d'éviter que des accidents comme celui-là se reproduisent. «Dans toutes les entreprises où il y a de la maintenance, de l'entretien et des machines, il y a des travaux de cadenassage à réaliser», indique Manon Galipeau. «La plupart des amputations sont dues à une absence de cadenassage», fait-elle valoir.
Constat d'infraction
Un constat d'infraction a été émis à l'entreprise, soit Construction Michel Bourdon, pour avoir compromis la santé et la sécurité d'André Hamelin. Selon la CSST, c'est elle qui avait la responsabilité de ses employés, puisque le maître-d'œuvre du chantier n'était pas au courant que des travailleurs se trouvaient sur le chantier ce jour-là. «C'est de la responsabilité de l'employeur d'informer le maître-d'œuvre que des travailleurs se trouvent sur les lieux de travail. Il y avait beaucoup de manquements», constate Mme Galipeau.
Étant donné qu'il s'agit de la première infraction pour l'entreprise, l'amende variera entre 5000$ et 20 000$. «C'est certain que ces amendes ne sont rien comparées à une mort d'homme», observe Mme Galipeau. «Depuis 1979, ces tarifs sont en vigueur et les montants de ces amendes n'ont jamais été révisés par le gouvernement. On essaie de mettre d'autres moyens à notre portée pour éliminer les dangers. On sensibilise les gens avec les causes d'accidents pour qu'ils prennent en charge les milieux de travail.»
André Hamelin a été le deuxième travailleur à perdre la vie sur le site de Centropolis en six mois.
Une gestion déficiente de la sécurité liée aux installations électriques et une méthode inappropriée pour changer les câbles armés de luminaires, voilà ce qui aurait entraîné la mort de l'électricien André Hamelin, décédé en chantier le 26 novembre dernier, selon une enquête menée par la CSST.
Le 26 novembre dernier, André Hamelin, 64 ans, effectuait des travaux sur des luminaires d'un édifice commercial du site Centropolis à Laval. Au moment du changement d'un câble, le travailleur a subit un choc électrique de 347 volts, a perdu l'équilibre et fait une chute de 2,4 mètres avant d'atterrir sur un plancher de béton. Il est décédé à la suite de ses blessures quelques semaines plus tard. «Dans ce cas-ci, ce n'est pas le choc qui a été mortel, c'est sa chute», indique Manon Galipeau, resonsable des communications de la direction régionale de la CSST.
Source : PHOTO DIGITALE (FORMAT WORD) PHOTO: LIEU ACCIDENT - courrier de Laval - 3 mars 2008
TEMOIGNAGE D'UN ACCIDENTE SUITE A UNE CHUTE D'ECHELLE :
" Bonjour Docteur , je suis en accident de travail suite a une chute d'echelle sur mon chantier , je suis depuis 3 mois reste avec une lombo-sciatique droite.
j'ai eu 2 infiltrations dans le rachis lombaire
plus le port d'un corset en resine , des anti- imflamatoires que je prends encore a ce jour.
J'ai passe un scanner qui montre un pincement discale de l5-s1 ,une lordose lombaire reduite ,des petits debords de disques l4 ,l5 et l5,s1, et des protrusions.
Mon rhumato m a prescrit des seances de kine,et a ce jour, je souffre toujours autant, les douleurs deviennent de plus en plus insuportables et j'ai des fourmillements dans la jambe droite .
Que faire docteur quand on ne peut plus prendre son vehicule et que le poid autorisé dans mon travail sera de 10kg et que la sciatique reste ? "
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